Partager la publication "à Thierry Le Bras, pilote, écrivain, romancier, journaliste, écrivain, consultant, rédacteur, coéquipier"
à Thierry Le Bras (! octobre 195? – mi-novembre 2020), « Team TLB », citations notables, photo portrait, bibliographie,
C|M|
« Au fil du temps, Circuit Mortel a évolué. J’y ai évoqué ma passion de la course automobile sous toutes ses formes et à toutes les époques. Je raconte mes propres souvenirs depuis l’époque où, gamin, je rêvais de bolides jusqu’aux émotions ressenties au bord des circuits en qualité de spectateur toujours équipé d’un appareil photo. Sans oublier les saisons où je dévorais le bitume en tant que pilote amateur. »
« Comme j’adore le vintage, de nombreuses notes se rapportent aux sixties et aux seventies, Mais je n’oublie pas pour autant la période contemporaine et mes pilotes préférés en activité. »
« pour adapter mon langage au XXIème siècle – à Circuit Mortel ! Et aussi que d’autres passionnés participeront à la rédaction du blog. Vous avez des photos à partager, des souvenirs de courses à raconter, une passion pour voitures de sport et/ou vintage à exprimer ? N’hésitez pas à contacter via ce blog C|M|. Vous écrivez des nouvelles (dans le sens de courtes fictions) sur fond de sports mécaniques ? Peut-être trouveront-elles place sur ce blog en attendant un éditeur papier. Car Circuit Mortel a pour finalité le partage de notre passion de la course et des voitures conçues pour le plaisir de leurs pilotes ! »
Go Team C|M|
« Je préciserai d’abord que cette voiture était si parfaite qu’elle m’a permis de remporter la classe 1300 – 1600 cm3 dès ma troisième sortie à son volant sans préparation moteur et boite. Juste l’arceau cage en alu, quatre amortisseurs Bilstein, quatre slicks et les équipements de sécurité (coupe-circuit, harnais, extincteur). Seul problème rencontré lors des premières courses, la pression des pneus. Je m’étais aligné avec un écart de pressions trop important entre l’avant et l’arrière, en fait avec celles que conseillait un pilote d’Audi 80 GTE en circuit.
La voiture ne m’inspirait pas confiance avec cette option. J’avais failli la perdre en la plaçant à l’entrée de courbes rapides. Nous avons réalisé que l’Audi était plus longue et plus lourde, qu’il ne fallait pas forcément s’aligner sur ce que prônait un pilote qui courait dans une autres discipline (revêtements différents, pistes plus larges…). Avec un écart de pressions moins important, je me suis senti très bien d’entrée, notamment dans les portions rapides, là où un pilote gagne du temps, les passages lents ne servant qu’à en faire perdre à l’impétueux qui va à la faute et se freine.
Les Golf GTI ont évolué au fil de la saison. Des ressorts plus efficaces que ceux de série sont arrivés, améliorant encore la tenue de route. Des rapports de boite de vitesse mieux adaptés à la côte et au rallye furent homologués (première longue, seconde de série, 3è et 4è courtes). Avec un couple court (4,53). Et bien sûr un arbre à cames compétition.
Fin juillet 1977, la Golf GTI était devenue une vraie voiture de course. Notons que des renforts de caisson avant contribuaient à améliorer la rigidité. Elle devint imbattable dans la classe 1300 – 1600 en groupe 1. Plus le tracé était rapide (longues courbes, enfilades), mieux le pilote de Golf GTI tirait son épingle du jeu. Je me rappelle par exemple de ma 3ème place en groupe 1(avec la victoire en 1300 – 1300 bien sûr) à Neuvy Le Roy derrière l’Opel Commodore GSE d’un roi de la montagne (Jacky Ravenel en personne) et une seule 2 litres, toutes les autres grosses autos étant reléguées derrière. Même si elle ne glissait pas comme une propulsion, la Golf réjouissait les spectateurs car sa roue arrière intérieur levait de manière spectaculaire dans les passages serrés ! »
Thierry Le Bras, pilote Team TLB, 1977, Pluméliau,
raconté par Thierry, publié le 11/04/2016 sur site D[M]
post intitulé VW Golf GTI 1.6L 110 ch : la chef du gang des tractions dans les années 70. Souvenirs de pilote
« J’ai ouvert ce blog en 2006, à cette adresse : Circuit Mortel. Au départ, c’était pour présenter Circuit Mortel à Lohéac, mon premier polar sur fond de course automobile. « Les personnages de fiction vivent, non seulement dans l’esprit de leur créateur, mais aussi dans un monde parallèle où ils entraînent les lecteurs », écrivit Serge Dalens, un des écrivains qui ont bercé mon enfance et mon adolescence. David Sarel, ses proches, mes autres personnages de fiction existent bien, dans une autre dimension que j’ai souhaité partager avec vous.
Au fil du temps, Circuit Mortel a évolué. J’y ai évoqué ma passion de la course automobile sous toutes ses formes et à toutes les époques. Je raconte mes propres souvenirs depuis l’époque où, gamin, je rêvais de bolides jusqu’aux émotions ressenties au bord des circuits en qualité de spectateur toujours équipé d’un appareil photo. Sans oublier les saisons où je dévorais le bitume en tant que pilote amateur.
Comme j’adore le vintage, de nombreuses notes se rapportent aux sixties et aux seventies, Mais je n’oublie pas pour autant la période contemporaine et mes pilotes préférés en activité.
Par essence (sans jeu de mots), la course automobile se nourrit de suspense, d’angoisse, de rivalités exacerbées, de guerres financières, de luttes de pouvoir, parfois aussi de manipulations, de triches de concurrents sans foi ni loi, de dérapages pas toujours contrôlés… Bref, le carburant d’un bon thriller ! Alors, je ne puis résister au plaisir d’aborder de temps en temps des thématiques qui me tiennent à cœur sur le mode de la fiction ou du docu-fiction sur fond de course auto.
Circuit Mortel aura 10 ans au mois de janvier 2016. Bel âge pour un blog ! A l’approche de cet anniversaire, il gagne de la puissance et augmente ses performances dans le but de booster la satisfaction de ses visiteurs ! Une nouvelle aventure, une sorte de Rallye-Raid dans laquelle j’ai décidé de m’engager…
…pour adapter mon langage au XXIème siècle – à Circuit Mortel ! Et aussi que d’autres passionnés participeront à la rédaction du blog. Vous avez des photos à partager, des souvenirs de courses à raconter, une passion pour voitures de sport et/ou vintage à exprimer ? N’hésitez pas à me contacter. Vous écrivez des nouvelles (dans le sens de courtes fictions) sur fond de sports mécaniques ? Peut-être trouveront-elles place sur ce blog en attendant un éditeur papier. Car Circuit Mortel a pour finalité le partage de notre passion de la course et des voitures conçues pour le plaisir de leurs pilotes ! »
– Thierry Le Bras, Team Principal CIRCUITMORTEL
« Chroniqueur free lance, journaliste, écrivain, consultant, ghost writer, copywriter, storyteller »
Bibliographie :
– Chicanes et dérapages de Lorient au Mans, 2006
Cette année, le Team Vivia, basé à Kervignac, annonce un programme ambitieux pour les 24 Heures du Mans. Immédiatement, ses membres reçoivent des lettres de menaces. Puis quelques jours plus tard, le corps de Simon Granval est découvert sur le site des Automobiles Vivia. Menaces, attentats, actes de malveillance se multiplient autour de David. Qui veut encore la peau du Clan Vivia ? Sont-ce des adversaires acharnés du Cabinet d’avocats Trélor – Sarel et Larivière ? La monstrueuse marâtre de David ? Qui est le mystérieux sorcier chinois qui rôde à Ploemeur ? L’avocat lorientais David Sarel et le journaliste Sébastien Ménier mènent une nouvelle enquête pleine de pièges. Leurs vies sont en grand danger. Mais l’assassinat de Simon rend David revanchard. Les membres du Clan Vivia parviendront-ils à vaincre dans la Sarthe comme ils l’espèrent ? Quelles surprises la course leur réserve-t-elle au-delà de ses péripéties sportives ?
– Faits d’enfer à Carnac: le clan Vivia lutte toujours, 2006
Les aventures de David Sarel
– Circuit mortel à Lohéac, 2005
Livre de Jean-Luc Pailler (pilote rallycross) et Thierry Le Bras
via https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/search/N-EXPLORE
Cette année-là, la grande épreuve automobile de la saison, qui se dispute la troisième semaine d’août sur le célèbre circuit de Lohéac, tourne au cauchemar pour les membres de l’écurie Vivia. Un serial-killer sévirait-il en Ille-et-Vilaine ? Dès leur arrivée sur le circuit, les membres du clan Vivia apprennent que le corps carbonisé d’un homme a été découvert tout près, à Maure-de-Bretagne. Puis des cadavres, dont certains mutilés sont retrouvés entre Saint-Malo et la pointe du Grouin près de Cancale. Un vent de panique souffle sur la Côte d’Emeraude et chasse les estivants pendant que les membres de l’écurie Vivia, qui ne compte pas que des amis, subissent menaces et malveillance à Lohéac. Trouveront-ils la mort avant la fin du week-end ? Veut-on supprimer le clan Vivia ? Ces faits sont-ils liés aux meurtres d’Ille-et-Vilaine ? C’est ce que David Sarel va s’efforcer de découvrir… Circuit mortel à Lohéac, un polar mené à 300 à l’heure…
– 7 nouvelles pimentées, 2012
Rédaction de « 7 nouvelles pimentées ». Un livre présenté sous forme d’un menu de lecture. Des tranches de vie saignantes regroupées dans un recueil succulent d’humour, de cynisme et de suspense. Les sous-titres de ces courtes fictions annoncent l’esprit des scenarii en s’inspirant de recettes de cuisine. Une de ces aventures s’est déroulée près de chez le lecteur ou dans un cadre ressemblant à son cadre de vie.
– biographie officielle du pilote de Formule 1 Olivier Panis, F1
Rédaction de la biographie officielle du pilote de Formule 1 Olivier Panis, dernier vainqueur français d’un Grand-Prix de Formule 1. Le parcours d’un homme passionné de football qui devient pilote de Formule et remportera le Grand-Prix le plus prestigieux du monde, Monaco ! Un homme très attaché à sa famille, simple, loyal, sincère, épris de valeurs traditionnelles, même s’il exerce un métier particulier sous l’œil de millions de téléspectateurs. L’ouvrage es préfacé par Mika Häkkinen, deux fois champion du monde de Formule 1. J’ai travaillé d’après des interviews du pilote et de ses proches, de propos recueillis auprès d’autres acteurs de la F1, d’archives…
– 20 ans d’aventures transatlantiques de Saint-Malo à Pointe-à-Pitre, 1999
De Thierry Georjan
Rédaction du livre « 20 ans d’aventures transatlantiques de Saint-Malo à Pointe-à-Pitre » (signé sous le pseudonyme Thierry Georjan). L’objectif, transporter le lecteur au centre de l’action sur les bateaux de course qui ont animé la Route du Rhum de sa création à 1998. Préfacé par Laurent Bourgnon, deux fois vainqueur de l’épreuve, Le récit permet au lecteur de partager les émotions et les sensations des navigateurs. Secoué par des rafales de vent impressionnantes, il bondit de vague en vague…
– Vendée Globe, 1996
De Thierry Georjan
« Rédaction du livre Vendée Globe. L’édition du tour du monde en solitaire à la voile racontée en direct. Préfacé par Philippe Jeantot, alors organisateur de l’épreuve, le livre est sorti à l’arrivée de la course (signé sous le pseudonyme Thierry Georjan). J’ai travaillé à partir des communiqués de presse des concurrents, d’interviews, du suivi des vacations radio quotidiennes. Je me suis naturellement attaché à la promotion de l’ouvrage (communiqués, interviews, participations à des salons, séances de dédicaces…). »
« Mon savoir-faire, raconter une histoire, véritable ou de fiction. Une formation initiale de juriste d’affaires m’a appris à discipliner mon esprit. J’entends valoriser mon talent d’écoute, de synthèse et d’écriture dans les secteurs des médias, de l’édition, de la formation, du conseil et du storytelling. » …
https://fr.linkedin.com/in/thierry-le-bras-3629ab55
— Les bateaux, ils vont revenir avec du Rhum ? demande un gamin à son père qui admire les plus grands multicoques engagés en 2018.
— Non, ce n’est pas tout à fait ça, répond un homme surpris par la logique implacable de la question.
« Demain, événement d’un autre sport mécanique à la télé, le départ du Vendée Globe avec des pilotes de F1 des mers. »
– @ThierryLeBras2, 7 nov 2020
19/11/2020 à 19:46
Vous devez faire partie des amis de Thierry réunis, avec nous ses cousins, autour de lui ce matin…Je peux vous apporter les quelques précisions qui semblent vous manquer, il est né le 8 octobre 1954 et son acte de décès mentionne la date du 16 novembre 2020…Je ne sais pas si cela est possible, mais peut-on espérer que ce blog lui survive ? Merci en tout cas d’y veiller et merci de votre présence…